mardi 22 avril 2014

Eclypso 0

Suite de ma commande chez ACB Comics, après Héros 1, Eclypso 0. Toujours du golden age au menu, mais cette fois-ci en format poche et en noir et blanc, comme au bon vieux temps des publication "Mon Journal" (soupir nostalgique).

Comme dans Héros, il y a ici à boire et à manger, et le très bon côtoie le moins bon. Mais il y a toujours ce charme rétro qui agit et surtout le fait de découvrir des super héros complètement oubliés (à tort ou à raison).

Mention spéciale à "Nightmare and Sleepy" et à "The Steelfist" dont les costume et / ou pouvoirs spéciaux m'ont bien emballé et à "The Ghost-Rider" en ce qui concerne le dessin que je trouve formidable.

Je ne vais pas détailler histoire par histoire, vu qu'il s'agit de bon gros comics classiques, avec un gentil super héros bien sous tous rapports qui est aux prises avec un affreux méchant.

Au sommaire de ce numéro : 
- The Owl
- Tharg's Future Shocks
- Fly-Man
- The Ghost-Rider
- The Steelfist
- Nightmare and Sleepy
- Red Demon

Mis à part un édito un peu hargneux auquel je n'ai rien compris (Rocky Dax est vénère et il le fait savoir) et qui - à mon humble avis - n'a rien à faire ici (on lit un édito pour en savoir un peu plus sur la revue qu'on tient dans les mains, par pour être pris à témoin dans une guéguerre qui nous ait totalement étrangère), l'ensemble se lit plutôt bien. Et encore une fois avec ce genre de vieux comics, les poncifs, les clichés, les histoires à la wanegaine, participent au charme de la chose.

Par contre, je voulais parler du cas de "Tharg's Future Shocks", une sorte de "Tales from the Crypt" futuriste et humoristique. L'histoire et le dessin m'ont tout de suite plu (malgré la police utilisée qui est totalement illisible) et j'ai trouvé ça très moderne pour du golden age. En plus, le scénariste s'appelle Alan Moore et cela m'a fait sourire de voir que le Barbu avait un prédécesseur homonyme dans le métier. 
Et puis, pris d'un doute, j'ai cherché sur Internet et j'ai découvert que cette petit merveille datait de la fin années 70 / début années 80 et était bien l’œuvre - entre autre - du Alan Moore que je connaissais. Je m'étonne que cette histoire paraisse ici, car contrairement aux autres qui doivent, je pense, être dans le domaine public, celle-ci est trop récente pour ça. Ceci dit, je suis ravi d'avoir découvert l'existence d'une telle série, malheureusement non traduite en français...

Note : 13/20

On peut se procurer ce numéro directement sur le site d'ACB Comics.

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